Les habitants de la ville Ain Oulmène se plaignent de l’obscurité qui règne depuis des années dans les rues, dans les cités et sur la route menant à l’hôpital.
L’absence de maintenance se fait se ressentir sur l’ensemble de candélabres dépourvus de couvercles de protection électrique très accessibles aux enfants exposés aux risques d’électrocution.
La défectuosité de l’éclairage public touche pratiquement tous les quartiers, toutes les cités de la ville et les élus de l’APC devraient accorder un « intérêt particulier », sortir par exemple la nuit pour voir l’état de l’éclairage public dans les quartiers et dans les périphéries pour évaluer l’ampleur de ces défaillances.
Cette situation favorise la délinquance et ne fait qu’accentuer le sentiment d’insécurité.
A noter aussi le tronçon Sud du périphérique de l’éclairage public de la double voie est inopérant.
S’agit-il d’une panne ou d’une action volontaire pour réduire la consommation au détriment de la sécurité des automobilistes ???
C’est le cas aussi, constaté depuis plus deux années sur le tronçon entre Sétif et Mezloug.
Compte tenu des factures faramineuses de la consommation de l’énergie électrique, les APC devront recourir à de nouvelles technologies à moindre coût avec l’installation de diodes électroluminescentes (LED) qui remplaceront au fur et à mesure les anciennes lampes à vapeur de sodium et l’installation des panneaux solaires pour un début au niveau des ronds-points périphériques.
De telles mesures économiseraient sensiblement beaucoup d’argent, réduiraient prés de 80% la consommation énergétique et les couts de maintenance tout en améliorant la qualité de l’éclairage.