La ville de Ain Oulmène en comptait prés d’une cinquantaine cybercafés et aujourd’hui, il n’en reste près qu’une dizaine qui sont encore opérationnels non pas pour le motif de l’absence d’autorisation d’exploitation autrement dit de l’agrément mais par manque de clientèle.
Après une dizaine d’années florissantes, les cybercafés risquent, aujourd’hui, de connaître le sort des taxiphones obligeant la plupart de baisser rideau.
L’arrivée de la 3G et de la « 4G » de la téléphonie mobile a chamboulé ces espaces Internet se retrouvent désormais en difficulté accusant un manque à gagner consistant contraints les gérants de fermer ou de changer d’activité.
Cette nouvelle technologie introduite depuis plusieurs années chez nous ,a fait le bonheur des accros des réseaux sociaux désertant les cybercafés et préférant se connecter via leurs smartphones ou tablettes.