Cette année, la rentrée scolaire coïncide avec la fête de l’Aid El Kébir et les parents d’élèves sont confrontés à de grosses dépenses qui sont au dessus de leurs petites bourses.
Un véritable « casse tête chinois », une équation à plusieurs inconnues difficile à résoudre, devant des dépenses que viennent de faire durant le mois de Ramadan et des fêtes de l’Aid Es Séghir et de l’Aid El Kébir.
Sachant que la fin de mois est très difficile devant une inflation engendrée par la dépréciation du dinar et la spéculation ne font de s’aggraver autrement dit le pouvoir d’achat, la consommation et la production, vont être sérieusement rongés.