
Comme à l’accoutumée, seulement les prix des fruits et légumes, les viandes blanche et rouge flambent à la veille du Ramadan mais cette année, elle est « inédite ».
Le pouvoir d’achat s’est dégradé des algériens et s’est aggravé avec la conjoncture internationale qui est loin d’être favorable en raison de la guerre en Ukraine et de son impact sur les produits agricoles et sur la hausse du baril du pétrole.
Ces hausses se répercutent sur le prix des produits alimentaires et les consommateurs, qui subissent l’inflation depuis plusieurs mois déjà avant même de la guerre en Ukraine.
Les pénuries reviennent chez nous de la semoule, du lait en sachet et de l’huile de table qui ont disparu des étals dans les supérettes et dans les commerces malgré les « assurances » des pouvoirs publics.
Saha Ramedanekoume et le cauchemar continue…