Malgré la dernière instruction en date de décembre 2012 du Premier ministre Abdelmalek Sellal relative à l’allègement et la facilitation d’ouverture de comptes bancaires et de l’octroi de crédits bancaires, certaines banques notamment et le crédit populaire d’Algérie (CPA) continuent à imposer encore leur diktat.
Pas loin de cet après-midi, je me suis présenté à l’agence du crédit populaire sise au centre de la ville de Ain-Oulmène , pour l’ouverture d’une compte de devises, j’étais surpris lorsque directeur de cette agence m’appris qu’il faut absolument ouvrir en parallèle un autre compte en dinars algériens dont le montant minium de 20.000,DA.
En 2014 encore, on continue à appliquer la « fameuse vente concomitante » comme dans les années 80 où l’on propose dans les Souks E-Fellah un kilogramme de beurre avec une pelle, une pioche ou une brouette.
Les responsables de ces banques, apparemment sont insensibles à ce qui se passe dans le monde,ailleurs, le client est roi, chez nous « il supplie » le banquier pour avoir un prêt ou pour ouvrir un compte devises.