A la sortie Est et Sud de la ville de Ain Oulmène,des milliers d’hectares sont plantés en tabac et malgré la faible pluviométrie récurrente et les hausses d’importation de tabac, les agriculteurs continuent à investir à coups de milliards dans la culture de tabac encouragés à en croire certaines sources par la « Société Nationale des Tabacs et Allumettes » (SNTA) reprise dans le cadre de la loi des investissements « 51/49 % » par un groupe émirati, spécialisée dans la fabrication de cigarettes, de tabac à chiquer et de paquets d’allumettes qui ne plus fabricables.
Quant aux agriculteurs,notamment des agglomérations de Guellal et de Bir Haddda respectivement situées au Nord et à l’Est de Ain Oulmène investissent davantage dans la culture des légumes et des fruits.
Ce sont ceux-là que devraient encourager les pouvoirs publics, leur appliquer par exemple une taxe de valeur ajoutée (TVA) réduite et une sensible subvention des prix de Kilowatt/heure et du prix du litre de gasoil comme jadis.
Le mal est fait ,maintenant la culture du tabac est très répandue chez nous, est une source d’approvisionnement pour les narcotrafiquants.
Il faut signaler aussi, que certains « agriculteurs » cachent volontairement leurs parcelles de terres par des roseaux et par des clôtures pour que « personne n’y voie à l’intérieur. »
Affaire à suivre…