Depuis des années, le « stationnement en deuxième position » a pris une ampleur inédite à Ain-Oulmène,et ça devient « normal » .
Ce nouveau fléau touche apparemment toutes les villes d’Algérie et aucune mesure n’est prise pour lutter contre ce phénomène qui ne cesse de s’accroitre.
On constate aussi beaucoup de voitures se garent sur les trottoirs et empêchent les piétons d’emprunter cet espace, une vraie anarchie s’impose et personne n’en dise un mot.
Pourquoi ce silence ?
Quant à la circulation, elle devient difficile malgré le périphérique Nord , la ville est étouffée par le nombre impressionnant de véhicules traversant le centre de la ville par jour.
Ça roule chaque minute en dehors des heures de « pointe », les rues d’Ain-Oulmène,de Sétif et des autres villes d’Algérie sont envahies aussi de voitures.
Augmenter les prix des carburants pourrait dissuader sans aucun doute ces nombreux automobilistes à rouler, à brûler de l’essence et à produire de CO2.