
Il est devenu presque inaperçu tellement le phénomène est banalisé, beaucoup d’édifices qui datent de « l’ère coloniale » notamment l’ex Hôtel des messageries (1900-1920), l’ex siège de la justice de paix (1900-1920),l’ex Café des sports, l’ex siège de la poste (1897), l’ex hangar de l’OAIC, l’ex école préfabriquée, le mur de l’ex piscine, l’ex silo de réserve (1911) et quelques vieilles bâtisses situées en plein centre de la ville menaçant ruine pourraient provoquer à tout moment des effondrements et compromettre à la sécurité des passants et des riverains.
En effet, au centre de la ville de Ain Oulmène, le toit de l’ex café des Sports s’est effondré ces derniers mois, fort heureusement il n’y a pas eu de dégâts mortels.
En hiver, les risques seront encore plus grands si aucune mesure n’est prise pour sécuriser ces édifices qui se dégradent de jour en jour.
Apparemment, aucune « loi d’expropriation » n’est prévue, même si elle existe,elle ne sera jamais appliquée relative aux édifices menaçant ruine qui ont fait déjà des dégâts mortels importants à l’échelle nationale.